J’ai commencé comme n’importe quel éleveur marocain par la possession d’un chardonneret ou plus ; après avoir écouté le chant ou plutôt –à cette époque de mon âge, il n’était rien que du gazouillement. Puis par les sorties in sécante à la nature j’ai découvre d’autre chant qui ne ressembler pas à celui du chardonneret, alors je me suis attirer vers ces symphonies, autrement-dit mes sorties vers la nature commencé à prendre gout et plaisir.
Depuis alors je suis devenu le bras cassé de la famille, celui qui ne peut être apprivoisé, car quand en hume l’aire frais de la nature en veux plus retourner à la civilisation ; avec un bonnet des années soixante dix et un djinn warangler recousait plusieurs fois par la maman, je parcourais les régions de AIN ATIK les parages de SOUISSI la foret de AKRRACHE et le BARRAGE SIDI MOHAMED BEN ABDELLAH combien de fois en a fuie moi et les copains de l époque les malfrats de ces régions toute en laissant derrière nous le filet et le matériel avec.et parfois en étaient forcé de faire face et en laisser des plumes. A cause du courage et pour notre dignité.
Bref j’ai écouté le verdier le rouge gorge l’alouette loulou la mésange charbonnière…, mais ce qui m’envoie vers une autre dimension et il est encore comme ça c’est le chant du rossignol, le roi des oiseaux les sons ensorcèlent les fans de chant, la serine de la nature.
J’avais cru qu’aucun oiseau n’aller me faire le coup du coup du foudre, jusqu’au jour ou j’ai croisé le malinois, mais je m’en plein pas car cet oiseau il ressemblé dans son chant au rossignol, puisque ce dernier est son maitre de jadis.
Alors je me suis sédentarisé dans ma nouvelle préoccupation ; qui est l’élevage de cette race et que de jour en jour il s’agrippe à mon cœur car bon j’ai essaie de l’enlever à cause de ce que je rencontre de cupidité dans son univers, mais elle refuse de lâcher prise.
Comme à dit le poète arabe : celui qui navigue dans les mers déchainés na pas peur de la noyade.
Et de quoi devrais- je alors me plaindre ? Par contre l’aventure ne m’a pas tué ; ne m’a pas laissé analphabète ; ne m’a pas laissé seul sans amis, bref je me fais pas des reproches ; puisque elle m’a aidé à trouver ma cité interdite. Là où je me suis refais en connaissance du phénotype, et j’ai commencé à revoir les séquences de mon aventure.
Concrètement parlant, j’apprends dans le domaine du chant…
Je prie ceux qui n’ont pas rencontré le chemin de cette cité de pousser les recherches à fond car elle est juste à coté. Il faut tout simplement savoir ou chercher.
Merci d’avoir lu mes pensés
Votre humble serviteur du hobby ;waterslager
Depuis alors je suis devenu le bras cassé de la famille, celui qui ne peut être apprivoisé, car quand en hume l’aire frais de la nature en veux plus retourner à la civilisation ; avec un bonnet des années soixante dix et un djinn warangler recousait plusieurs fois par la maman, je parcourais les régions de AIN ATIK les parages de SOUISSI la foret de AKRRACHE et le BARRAGE SIDI MOHAMED BEN ABDELLAH combien de fois en a fuie moi et les copains de l époque les malfrats de ces régions toute en laissant derrière nous le filet et le matériel avec.et parfois en étaient forcé de faire face et en laisser des plumes. A cause du courage et pour notre dignité.
Bref j’ai écouté le verdier le rouge gorge l’alouette loulou la mésange charbonnière…, mais ce qui m’envoie vers une autre dimension et il est encore comme ça c’est le chant du rossignol, le roi des oiseaux les sons ensorcèlent les fans de chant, la serine de la nature.
J’avais cru qu’aucun oiseau n’aller me faire le coup du coup du foudre, jusqu’au jour ou j’ai croisé le malinois, mais je m’en plein pas car cet oiseau il ressemblé dans son chant au rossignol, puisque ce dernier est son maitre de jadis.
Alors je me suis sédentarisé dans ma nouvelle préoccupation ; qui est l’élevage de cette race et que de jour en jour il s’agrippe à mon cœur car bon j’ai essaie de l’enlever à cause de ce que je rencontre de cupidité dans son univers, mais elle refuse de lâcher prise.
Comme à dit le poète arabe : celui qui navigue dans les mers déchainés na pas peur de la noyade.
Et de quoi devrais- je alors me plaindre ? Par contre l’aventure ne m’a pas tué ; ne m’a pas laissé analphabète ; ne m’a pas laissé seul sans amis, bref je me fais pas des reproches ; puisque elle m’a aidé à trouver ma cité interdite. Là où je me suis refais en connaissance du phénotype, et j’ai commencé à revoir les séquences de mon aventure.
Concrètement parlant, j’apprends dans le domaine du chant…
Je prie ceux qui n’ont pas rencontré le chemin de cette cité de pousser les recherches à fond car elle est juste à coté. Il faut tout simplement savoir ou chercher.
Merci d’avoir lu mes pensés
Votre humble serviteur du hobby ;waterslager