Quand on était petit et lorsqu’un marrakechi vient chez un voisin on attend qu’il sorte pour jouer rien que pour une fin ; lui dire Mani Bhâjâ Mani bhouj. Mais en faite on ne savait pas ce que signifie cette appellation, on croit à l’époque que c’était une taquinerie.
J’étais invité à NZAHT MARRAKECH le 22 et le 23 Mai 2010 et croient-moi j’étais honoré par cette intention particulière, car chez les éleveurs de Marrakech c’est une fête plus qu’une rencontre qui se perpétue chaque printemps de chaque année et si par hasard on oublierait quelqu’un il risque d’être très fâché contre les organisateurs, c’était pour moi un honneur que je ne l’oublierai jamais en plus j’étais reçus comme il le faut, traité comme il le faut, en un seul mot, j’étais un Bhâjâ durant cette moment.
Je pense que les marrakechis on une hospitalité bien particulière, il suffirait d’écouter les invités marrakechis dire aux organisateurs et à chaque moment lorsque on distribuait le thé ou autre chose : il faut dire MARHBA. HHHHHHHé toi là-bas distribue toute en souriant et en disant MARHBA et saa mabroka.
NAZAHT MARRAKECH c’est une tradition qui persistait depuis jadis, du jour ou les anciens artisans marrakechi -fans des oiseaux chanteurs-avait mare du travaille ils fuiraient leurs boutiques pour aller trouver refuge ou un sanctuaire dans la nature, mais le déplacement ne passe pas sans gaieté, il avait GANAOWA, MALHOUN, ZAJAL, OISEAUX, et le plus intéressent dans l’histoire c’était les rencontres entre amis que les contraintes de la vie ne les a pas laisser se voir.
On me racontait que le NZAHA de l’année passer à rencontrer deux chers amis qui ne se sont pas vus durant une période de 32 ans. J’ouvre ici le : ‘’est ce que ce n’est pas le joyeux hobby qui existe au monde ? Celle d’être amoureux des oiseaux, et par conséquent vous vous faites des amis dont les sentiments échangés réciproquement, ils deviennent plus que des membres d’une famille, puisque on essaye souvent de trouver des excuses pour faire un déplacement loin qu’il soit et laisser derrière famille, élevage, intérêt personnel … ’’
J’ai appris une chose, que ce qu’on nous avait inculqué de l’hospitalité marocaine, le hobby peut le faire en un rien de temps.
Revenant à la soirée du 22 Mai 2010, après le diner tout le monde réunissait autour de l’artiste du HAJHOUJ, mais en marrakechi, c’est SANTIR un fameux homme qu’on ne pouvait pas oublier, il avait une voix superbe.la viellé c’était attarder au-delà de minuit.
Le dimanche du 23 Mai 2010 je me réveillais très tôt, et comment, l’événement se passait dans une jolie ferme bien entretenue, ma chaa Allah.les appelles du coq du paon des vaches, le gazouillement des oiseaux indigènes…et seulement à ce moment que je saisissais ce que veut dire mot NAZAHA.
J’étais stupéfait par l’organisation ; il y avait plus de 300 personnes pourvues que mes yeux ne me jouaient pas les tours de magie, tous marchaient comme un seul homme. J’ai organisé avec mes amis de la MCR des compétitions avec des juges internationaux (OMJ) sur la longueur de deux jours avec plus de 100 personnes et je savais c’est les invités sont content ou pas .mais la gaité lus sur les visages au NAZAHAT MARRAKECH -rien avoir -ressemblait plutôt à celle lus sur les visages des marocains lors de l’AID EI KIBIR.
Les éleveurs exposaient leurs mistoux qui chantaient que la widaniya un chant bien particulier, qui battait les mesures du rossignol, du mésange charbonnière, de l’alouette loulou on m’éblouirait les oriels, les propriétaires étaient fier d’exposer leur fierté qui a attendue l’arrivée du jour du NZAHA avec patience, comme l’enfant qui attendait la fête du mouloud pour envelopper les nouveaux vêtements.
Le plus frappant dans cette événement c’est l’égalité et le respect qui existait entre les âgés et les jeunes. Bref une harmonie qui sortait de l’ordinaire.
Mille merci cher amis du Marrakech notamment Mr ABDELKHALAK qui enlevait son djellaba pour me le filait, quand il voyait que j’avais froid la nuit du samedi et pour son insistance pour que je la garde même à mon sommeil, mille merci a mon cher ami ELASSOUDI qui faisait le déplacement à la gare pour me récupérer, mille merci à Mr AHMED propriétaire de la ferme qui nous donnais la chance de vivre un NZAHA selon les traditions ancestrale, Mille merci à Mr ELKHOUCHAFI pour l’invitation et pour sa sincère engagement de mener LAWLAA à bon port, en fin mille merci à tous ceux qui avaient aidé à réussir l’évènement la plus solliciter chez les éleveurs des oiseaux et fan de l’environnement de Marrakech…
N B j’aime mettre des photos mais j’ai des problèmes techniques avec ma connexion.je vais voir avec quelqu’un du forum ultérieurement.
J’étais invité à NZAHT MARRAKECH le 22 et le 23 Mai 2010 et croient-moi j’étais honoré par cette intention particulière, car chez les éleveurs de Marrakech c’est une fête plus qu’une rencontre qui se perpétue chaque printemps de chaque année et si par hasard on oublierait quelqu’un il risque d’être très fâché contre les organisateurs, c’était pour moi un honneur que je ne l’oublierai jamais en plus j’étais reçus comme il le faut, traité comme il le faut, en un seul mot, j’étais un Bhâjâ durant cette moment.
Je pense que les marrakechis on une hospitalité bien particulière, il suffirait d’écouter les invités marrakechis dire aux organisateurs et à chaque moment lorsque on distribuait le thé ou autre chose : il faut dire MARHBA. HHHHHHHé toi là-bas distribue toute en souriant et en disant MARHBA et saa mabroka.
NAZAHT MARRAKECH c’est une tradition qui persistait depuis jadis, du jour ou les anciens artisans marrakechi -fans des oiseaux chanteurs-avait mare du travaille ils fuiraient leurs boutiques pour aller trouver refuge ou un sanctuaire dans la nature, mais le déplacement ne passe pas sans gaieté, il avait GANAOWA, MALHOUN, ZAJAL, OISEAUX, et le plus intéressent dans l’histoire c’était les rencontres entre amis que les contraintes de la vie ne les a pas laisser se voir.
On me racontait que le NZAHA de l’année passer à rencontrer deux chers amis qui ne se sont pas vus durant une période de 32 ans. J’ouvre ici le : ‘’est ce que ce n’est pas le joyeux hobby qui existe au monde ? Celle d’être amoureux des oiseaux, et par conséquent vous vous faites des amis dont les sentiments échangés réciproquement, ils deviennent plus que des membres d’une famille, puisque on essaye souvent de trouver des excuses pour faire un déplacement loin qu’il soit et laisser derrière famille, élevage, intérêt personnel … ’’
J’ai appris une chose, que ce qu’on nous avait inculqué de l’hospitalité marocaine, le hobby peut le faire en un rien de temps.
Revenant à la soirée du 22 Mai 2010, après le diner tout le monde réunissait autour de l’artiste du HAJHOUJ, mais en marrakechi, c’est SANTIR un fameux homme qu’on ne pouvait pas oublier, il avait une voix superbe.la viellé c’était attarder au-delà de minuit.
Le dimanche du 23 Mai 2010 je me réveillais très tôt, et comment, l’événement se passait dans une jolie ferme bien entretenue, ma chaa Allah.les appelles du coq du paon des vaches, le gazouillement des oiseaux indigènes…et seulement à ce moment que je saisissais ce que veut dire mot NAZAHA.
J’étais stupéfait par l’organisation ; il y avait plus de 300 personnes pourvues que mes yeux ne me jouaient pas les tours de magie, tous marchaient comme un seul homme. J’ai organisé avec mes amis de la MCR des compétitions avec des juges internationaux (OMJ) sur la longueur de deux jours avec plus de 100 personnes et je savais c’est les invités sont content ou pas .mais la gaité lus sur les visages au NAZAHAT MARRAKECH -rien avoir -ressemblait plutôt à celle lus sur les visages des marocains lors de l’AID EI KIBIR.
Les éleveurs exposaient leurs mistoux qui chantaient que la widaniya un chant bien particulier, qui battait les mesures du rossignol, du mésange charbonnière, de l’alouette loulou on m’éblouirait les oriels, les propriétaires étaient fier d’exposer leur fierté qui a attendue l’arrivée du jour du NZAHA avec patience, comme l’enfant qui attendait la fête du mouloud pour envelopper les nouveaux vêtements.
Le plus frappant dans cette événement c’est l’égalité et le respect qui existait entre les âgés et les jeunes. Bref une harmonie qui sortait de l’ordinaire.
Mille merci cher amis du Marrakech notamment Mr ABDELKHALAK qui enlevait son djellaba pour me le filait, quand il voyait que j’avais froid la nuit du samedi et pour son insistance pour que je la garde même à mon sommeil, mille merci a mon cher ami ELASSOUDI qui faisait le déplacement à la gare pour me récupérer, mille merci à Mr AHMED propriétaire de la ferme qui nous donnais la chance de vivre un NZAHA selon les traditions ancestrale, Mille merci à Mr ELKHOUCHAFI pour l’invitation et pour sa sincère engagement de mener LAWLAA à bon port, en fin mille merci à tous ceux qui avaient aidé à réussir l’évènement la plus solliciter chez les éleveurs des oiseaux et fan de l’environnement de Marrakech…
N B j’aime mettre des photos mais j’ai des problèmes techniques avec ma connexion.je vais voir avec quelqu’un du forum ultérieurement.